Blog
Retrouvez ici nos articles en rapport avec les activités de CircularPlace, l’économie circulaire et la transition écologique.
Retrouvez ici nos articles en rapport avec les activités de CircularPlace, l’économie circulaire et la transition écologique.
Un outil numérique reconditionné permet de limiter l’extraction de matières premières et les émissions de gaz à effet de serre issues de leur phase de fabrication, outre de faire aussi ralentir la société de surconsommation.
Ce 9 septembre, l’ADEME dévoile une nouvelle étude « Évaluation de l’impact environnemental d’un ensemble de produits reconditionnés », étudiant les cycles de vie de cinq familles de produit : des smartphones, tablettes, ordinateurs fixes et portables, et consoles de jeux.
Selon les résultats de l’étude, un produit reconditionné est d’autant plus vertueux pour l’environnement s’il est local, et réalisé au plus tard dans sa durée de vie afin de rallonger au maximum sa longévité.
Il offre également au consommateur la possibilité d’acquérir un produit aux performances équivalentes d’un produit neuf à moindre coût, tout en permettant d’éviter la consommation de matières premières trop coûteuses pour l’environnement qui sont nécessaires à un produit neuf.
Selon les derniers chiffres dévoilés par l’ADEME dans cette étude, en France les ventes de smartphones reconditionnés ont progressé de 18% en 2020, équivalent à près de 14% des ventes totales de smartphones.
Mais le reconditionnement peut avoir ses inconvénients : afin de limiter au mieux les impacts environnementaux, il sera nécessaire de prendre en compte pour chaque produit reconditionné l’ajout des accessoires neufs, les changements de pièces détachées, le volume du packaging et les matériaux le constituant, et le lieu de son reconditionnement. Il faut également veiller à ce que la seconde vie ne devienne pas non plus un marché de surconsommation.
Des questions sur CircularPlace ?
Envie de nous suivre ?
Inscrivez-vous à notre newsletter !