Le 22 mai, c’était la journée internationale de la diversité biologique !
La corrélation entre l’augmentation de la production de déchets et l’effondrement de la biodiversité a été établie par de nombreuses études.
La biodiversité représente, selon les Nations Unies, toutes les formes de vie sur Terre, ainsi que les caractéristiques naturelles qu’elle présente. On compterait entre 8 et 12 millions d’espèces, animales et végétales
Actuellement, selon l’IPBES, nous ne sommes pas encore dans une situation d’extinction de masse. En effet, lors des précédentes périodes d’extinction, plus de 80 % des espèces avaient disparues, ce qui n’est pas encore le cas aujourd’hui. En revanche, nous pouvons parler d’effondrement de la biodiversité : le taux d’extinction est actuellement 100 à 1 000 fois supérieur à celui calculé au cours des temps géologiques. Le déclin se fait à un rythme très rapide. Les écosystèmes se dégradent trop vite pour que les espèces s’adaptent, beaucoup risquent donc de disparaître.
Cela se matérialise au travers de nombreux facteurs. Tout d’abord, la pollution marine par les plastiques a été multipliée par dix depuis 1980, affectant au moins 267 espèces. Egalement, en 2018, on dénombrait la plus forte concentration de micro plastiques jamais mesurée dans la banquise de l’Arctique (12 000/L).
Face à ce constat alarmant, il sera ainsi nécessaire de réduire les déchets pour préserver la diversité biologique et aspirer à un monde meilleur en prenant soin de la biodiversité. Nous devons nous engager en faveur de l’économie circulaire et favoriser le réemploi.
CircularPlace propose de réduire drastiquement les effets des déchets sur l’environnement, en les limitant tant que possible.
Un produit réemployé est un déchet en moins !
